Interac : Le phénomène des achats qui font du bien
En 2021, le stress et l’incertitude – au sujet de l’argent notamment – ont atteint un sommet. Les Canadiens se sentaient épuisés émotionnellement et financièrement après plus d’un an de pandémie. Au même moment, Interac continuait de faire face à une concurrence intense de la part de nouveaux acteurs de la technologie financière. Mais comment établir un lien positif lorsque les finances constituent une source de stress?
Nous devions faire passer les discussions au sujet de l’argent de négatives à positives. Nos recherches ont montré que notre public cible d’adultes de la génération Z et de milléniaux (qui représentent la plus importante opportunité de croissance en termes de consommateurs d’Interac) ressentait des pressions financières, plus de la moitié d’entre eux étant plus préoccupés que jamais par la gestion de leurs finances.

Cela dit, alors que les Canadiens n’ont peut-être pas été en mesure de contrôler leur vie autant qu’à l’habitude pendant la pandémie, nous voulions savoir s’ils se servaient de leur propre argent pour retrouver un sentiment d’ordre. Nous avons profité de l’occasion pour approfondir cette perspective avec une nouvelle expérience novatrice parmi les utilisateurs de débit. Pour une première fois avec Interac, nous avons fait appel aux experts mondiaux en science comportementale de notre agence pour valider le lien entre les dépenses et les sentiments.
Nous avons créé un environnement virtuel qui ressemblait à une vraie boutique en ligne. À partir de là, nous avons demandé aux répondants ce qu’ils avaient ressenti suite à leurs « achats » en ligne, en prenant soin d’étudier l’impact émotionnel des articles essentiels et non essentiels. Nous avons découvert qu’un phénomène des achats qui font du bien était pleinement en vigueur. Les utilisateurs de débit, en particulier notre public cible, faisaient de plus en plus d’achats liés au bien-être pour stimuler un éventail de sentiments positifs, de la satisfaction à la confiance, en passant par la fierté. Plus encore, ils dépensaient leur propre argent pour des plaisirs simples, notamment avec des achats de faible valeur déclenchant une réponse émotionnelle positive significative lorsque liée à une passion.
Ces résultats sont devenus le fondement d’une campagne sur les médias sociaux et de relations de presse. Pour donner vie à notre histoire, nous avons fait équipe avec la scientifique et experte en bonheur Gillian Mandich. Dans les émissions matinales et dans d’autres médias, elle a offert un point de vue d’experte sur les facteurs de motivation plus profonds derrière la tendance des achats liés au bien-être.
Nous avons également utilisé des approches personnalisées, y compris via des angles ciblés sur les habitudes d’achats liés au bien-être dans des domaines précis, pour obtenir une couverture médiatique importante à l’échelle régionale et dans différents types ou sections de médias, du style de vie aux affaires.
Le programme du Phénomène des achats qui font du bien a connu un énorme succès, générant 111 retombées médiatiques et 22,9 millions d’impressions gagnées dans les médias – surpassant notre indice de référence de 13 %. La plus grande partie de la couverture (64 %) a été obtenue dans les médias de premier niveau, y compris CBC, CP24, le National Post et la section Life du Toronto Sun. La commentatrice financière de CTV News, Pattie Lovett-Reid, a même partagé son propre achat qui fait du bien préféré sur Instagram. L’ensemble de la couverture était de tonalité positive et comprenait au moins un message clé.
Ce programme a été reconnu par plusieurs galas de remise de prix, y compris un prix Platine des Prix MarCom 2021, un prix Or dans la catégorie de la Meilleure utilisation des relations avec les médias des CPRS Toronto ACE Awards, et un prix Argent dans la catégorie Meilleure utilisation des relations avec les médias des Prix d’excellence nationaux de la SCRP.